Mon nom? Oui, en effet, on m'a atribué ce qui ressemble a un nom a ma naissance, même si par la suite pour me désigner c'était des gentillesses du genre: Batard, Toi là, enfoiré et bien d'autres. Ce nom que ma donné ma mèere signifie "Calme", ils me nommèrent ainsi dans l'espoir que je n'en vienne jamais a me révolter, que je reste calme quelque soit les situation, que jamais a cause d'un tempérament tumultueux je ne sois blessé. Ce nom est Shizuka, mais il y a longtemps que je n'ai pas entendut sa sonorité. Et comme nom apartenant a ma famille, je n'en ai pas, car quel objet a besoin d'une apartenance?

Je n'ai pas de Date de naissance, car je sais bien qu'aucune saison n'aurait voulu de moi, mais en comptant les années depuis que je vis, on peut en arriver au nombre 14. Je ne sais pas quand exactement j'aurai 15 ans, ni depuis quand j'ai 14 ans, mais cela m'importe peu, à quoi cela me servirait-il de la savoir, je n'ai nul besoin de ce renseignement pour continuer ma vie.

Biologiquement, je suis du sexe masculin, mais qu'importe, cela ne change rien au destin qui m'a été atribué a ma naissance.

Je n'ai pas la chance de posséder, seulement l'obligation de servir. Sans être digne d'être un être humain a proprement parler, je ne suis qu'une créature issue d'une mère Hybride Neko, et d'un père humain, cependant, je ne suis pas plus humain que la chose qui m'a mise au monde, je ne suis rien, et je ne cherche pas à être plus, je sais qu'avoir autre chose que ce auquel j'ai droit est impossible pour moi, de toute façon jamai je ne connu autre chose.

Je n'ai jamais connu le luxe des maitres que je sert, jamais connu la chance de vivre pleinement. Moi, être inhumain, mince, a en froler le squeletisme la peau foncée presque mate de nature est plutôt pâle contrairement a ce qu'elle devrait. car je suis loin de sortir tout les jour, je n'ai que peu cotoyé les rayons du soleil. Deux oreilles roses brunatres se tiennes sur le dessu de ma têtes, en plus de mes oreilles humaines. Oui, j'entend mieu, je perçois plus de chose, mais c'est a m'en donner mal a la tête, d'entendre tout cela. Pour complété l'immonde spectacle, j,ai une queu féline dans le bas de mon dos, aussi poilue que les membres sur le dessu de mon crane. Mes cheveux, eux aussi de cette inhabituelle couleur rosée, sont mi-longs, a mes épaules, coupés en dégradés et toujours décoiffés. Mes yeux, pour leur part, sont aussi bruns, plutôt grands, aucune joix de vivre n'y brille, car je ne possède pas cela... Mon visage est presque toujours impassible et semble incapable de sourire, je me demande quand est la dernière fois que je l'ai étirer pour sourire, mais peu importe le nombre de fois que j'y réfléchit je n'arive pas a me souvenir si c'était il y a 10 ou 11 ans...

Comme mon nom l'indique, mon principal trait de charactère est le calme. Celui-ci a peu a peu écolué en une forme aparente d'indiférence. Quoi que je pjuisse penser, quoi qu'on puisse me faire, quoi qu'il arrive, que ce soit triste, frustrant, heureux, je n'arrive pas en m'en défaire. Même si je suis dans la pire des colère, je reste de marbre. Cela veut aussi dire que quoi que je ressente, quoi que je pense, jamais un son ne sortira de ma bouche, que ce soit en bien ou en mal, une insulte ou une déclaration, je n'arrive pas a démontrer mes émotion, je n'arrive plus a me sortir de ma torpeur. Mais je ne demande pas pouvoir m'exprimer, car si toutes ses choses que je penses venaient a sortir par un moyen ou un autre, j'aurais probablement des ennuis inimaginable... Enfin, sinon, je fais ce qu'on me dit, plus part peur qu'autre chose. J'ai peur, peur de souffrir, peur d'être abandonné. Car, quoi que je puisse penser, je sais que jamais je ne survivrais en étant toujours seul. Car, bien que je sois seul au sens figuré, je sais que je dépend des gens autours de moi, même si je les hais, même si j'ai une terrible envie de meurtre a chaque fois qu'ils m'adressent la parole, je sais avoir besoin d'une présence, ne serais-ce pour avoir quelque chose a détester. Je ne cherche pas ce que je n'ai pas, je n'ai aucune envie de lever le petit doig pour un "peut-être que c'est poccible que cela arrive", sauf quand il sagit d'un "peut-être que c'est possible que mon maitre me frappe", comme je l'ai dit, j'ai peur des chatiments qu'on peu me donner, a en être paranoiaque, parfois.

Mon passé est banal, pour l'objet que je suis, mais puisque vous avez l'air d'y tenir, je vais prendre le temps de vous le raconter.
Je suis né d'une esclave Hybride et de son maitre, lui humain. Je ressemblais en tout point a ma mère, donc celui-ci, déja dédaigneux a son égard, décida de nous vendre dès qu'il m'eu vu, de peur d'être découvert et humilier par les gens de la haute société. Pendant les cinq premières années de ma vie, je vécu avec un maitre plus qu'indiférant de notre sort, il ne nous gardais ensemble car il savais bien que je vaudrais plus cher quand je serais en âge de faire quelque chose de constructif. À l'époque, je ne comprenais pas. Je ne comprenais pas la différence entre moi, ma mère, nous, et les aures, eux, les riche, notre maitre. Pourquoi devaient-ils se payer la belle vie alor que c'étaient nous qui faisaient tout le boulot. J'aprit bien vite de sa bouche que ce n'était que parce que étions des monstres,des monstres inférieurs, qui plus est. Dans l'âme fertile que je possédais alors s'encra ce mot: Monstre. Oui, nous étions des monstres. Ce mot, il me hante depuis ce jour, me revenant chaque fois en tête quand je me demandais "Pourquoi". J'eu la langue un peu moins bien pendue par la suite, après avoir essuyer maintes fois des insultes et des révélations du genre de la part de ce maitre auquel je fini tout de même par m'attacher, car, quoi que nous disions, quoi qu'il se passe, un enfant entre 1 et 5 ans peut-il vraiment éviter de s'attacher a la main qui le nourrit, a une personne qui semble prendre soin de lui et qui partage son foyer? Oui? Et bien pour moi, ce ne fut pas le cas.
Je comprit vite, trop vite ce qu'étais la vie quand celui-ci me vendit, seul. Ce n'était pas plus le fait d'être séparé de ma mère et de lui qui me fit mal, mais le fait incontestable qu'il m'avait vendu. Cet homme, ce maitre dont j'ai aujourd'hui oublier jusqu'à son nom, m'avais abandonné,moi qui l'avais parfois vu comme un père... Ce fut un coup dur, je crois que cette première fois m'a laisser une cicatrice, bien que cela puisse vous paraitre futile, ce ne l'est pas, quand on est un gamin.
Puis, je passai quelque semaine dans une animalerie, on s'extasiais devant le nouveau produit que j'étais, moi, je ne comprenais pas, je ne savais pas vraiment ce qu'il se passais, car qui irait dire gentiment a son produit qu'il allait être vendu. Bref, après ce laps de temps, comme on dit: chose dite, chose faites. Je fut acheté par un riche seigneur, qui me fit faire divers travaux domestiques ou un peu plus physiques dans son immense demeure. Je ne le vit que rarement le maitre qui me possédais, après tout je n'étais qu'un esclave parmis tant d'autre, un hybride, qui plus est. Une domestique venait me dire ce que j'avais a faire pendant la journée et parfois revenais y ajouter des tache, sinon je n'avais que cela a faire, plus quelque taches qui m'étaient automatiquement attribuée, mais ce que l'on me demandait le plus souvent était des choses comme nourri le chat du maitre, aider le cuisinier a faire certains repas, refaire des lits ou laver le plancher. Je trouvais ma vie dure, mais j'avais bien tord, elle était des plus douce, sans que je m'en rende vraiment compte. J'ai apris pendant ces quelque années que je passai là a fermer ma grande bouche, car a quoi cela servait-il de crier quand il n'y avait personne pour écouter, a quoi cela servait-il de pleurer quand cela faisais plus mal qu'autre chose, a quoi cela servait-il de s'obstiner alors que se plier a la volonté des autres étaient plus facile? Je choisit la voix du silence, car elle m'allait mieu que l'aure, car elle était moins douleureuse.
Je fut revendu a 10 ans, après tout, je valais bien plus que le jours où mon précédent maitre m,avait acheté, a l'âge de cinq ans. Je n'avais toujours pas oublier, ma mère, celui que j'avais considéré comme mon père, mais j'en avais au moins retiré quelque chose, plus jamais je ne m'attacherais, plus jamais. Car cette douleure, je n'en voulais pas. Je fut racheté, mais cette fois, par une femme, elle me demandait bien plus que précédement, car, bien qu'elle était riche, elle était du genre économe, et un mome de 10 ans vallait moins cher qu'un de 20 ans, bien que suposément il faisais moins de chose. Celle-ci ne le voyait pas de cet oeil.
Je faisais tout, car même si cette sorcière était une économe, elle n'allait quand même pas se salir les mains, pas alors qu'elle m'avais, moi, non? Ça allait de tout. Je faisais tout les repas, le ménages, je réparais ce qui n'allait pas, j'étais son porte bagage, son souffre douleur quand elle avait envie de crier sur quelqu'un... Bref, son esclave, et bien sur, tout devant être fais a la perfection, sinon je pouvais rester des jours sans manger, et, si elle m'y prenais, elle finissais par m'enfermer dans une piece pendant une semaine. Avez-vous déja cuisiner sans avoir manger depuis trois jours? Si oui, vous devez comprendre la tentation que j'avais... Enfin bref, je ne vécu pas de tout repos, jusqu'au jour où elle me demanda quelque chose de... disont plus difficile. Un meurtre, voila l'ordre qu'elle me donna ce jour là.
Elle m'avais emmener chez lui, car elle lui en y avait été invitée, je ne connaissais ni son nom, ni son visage, toujours caché sous son chapeau. Tendis qu'il allait chercher quelque chose dans la cave, je le suisvis discretement tout en sortant le pistolet que ma maitresse m'avais donner pour l,occasion. Tendis que je le pointais vers la porte où il était disparut, je sentis une présence dans mon dos, avant que j'ai le temps de me retourner, me voila déesarmé et a Terre. Il fini par me faire dire que c'était ma maitresse qui voulais sa mort. Empoignant l'arme il parti. Je n'entendit qu'un coup de feux.
Le lendemain il me vendit, e6t me voila de retour dans une animalerie dans une ville proche... car "il ne veut plus jamais revoir ma tronche"... bon, je pense que c'était cela ou la mort... je ne suis pas sûr de l'option que je préfere...

Nom: Je vous donne l'autorisation de m'apellez Votre Majestée!
Non, sérieusement vous pouvez nommer la Baka que vous avez là comme vous voulez (tient, vous pouvez m'apellez Baka, tant qu'a y être, je sais que je vais m'y reconnaitre XD) mais sur internet, le surnom qu'on me donne le plus est Myu.

Code: [vu par Eik'] -enfin, je pense, avec ma mémoire de poisson rouge, on est jamais sûr...-

Quelque chose à dire?: Bah, je crois que tout est dit <3